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Yolistan - un voyage sur les routes de la Soie.

Voyage de Cindy et Thomas à travers l'Asie, d'Istanbul à Saint Pétersbourg en passant par Beijing!

Un GRAND merci 2 : suite

Kyrgyzstan:

Presque trois semaines à goûter aux montagnes et aux lacs de ce pays riche en émotions.

On commence en fanfare avec Simon, notre host CS à Bishkek, cool et très accueillant, on partagera son hospitalité avec deux Lituaniens en camion, avec leur chien, leur fils et une punk Russe rencontrée sur la route...

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Mais à Bishkek, on commence notre séjour chez Elena, à jouer avec son petit Roman, un ange souriant.

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Son mari Sergueï mettra aussi la main à la pâte pour préparer les pilmeni à la smetana, un régal!

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Elena notre hôtesse CS Russe Kirghize, ne pouvait pas enseigner l'anglais ailleurs que dans une université privée turque!

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On visita les belles installations, rencontrant Tügce, jeune turque d'Ankara et sa nouvelle amie Gulli.

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On croisa aussi Sevda, Arzu et Dinara, toutes très à l'aise en anglais ou en turc.

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Sur le célèbre marché de la capitale, Cindy donna la palme de l'élégance à ce vendeur de salades.

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Et on apprécia la châleur du sourire timide des vendeurs d'oignons en plein travail.

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Et la vendeuse d'ail demandera elle aussi une petite image...

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Mais on quitta vite les villes pour se retrouver au sud du beau lac Issik, et vadrouiller dans les vallées vertes. Ici, à Altyn Arachan, on passera une soirée sympa en compagnie de Fabien et Claire, et de Lilloises motivées, Noémie et Anne-Sophie.

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Dans une vallée plus à l'ouest, Jety-Ogüz, sans doute une des plus belles journées de tout le voyage, qui s'engagea par un charmant petit village sans nom où on discuta avec tous les gens qu'on croisait. Ici monsieur Nuri et son beau port de kalpak. 

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Un peu plus loin, c'est Anara, avec son bébé Hanike, qui semble un peu dubitatif...

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D'autres gamins qu'on étonna et interrompit une seconde dans leurs jeux.

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Et enfin Eldiar, sismologue en repos, qui nous confirma la direction à suivre pour rejoindre la verte vallée aux papillons... qu'on n'atteindra jamais!a - village (16)

Car en route, juste à la sortie du village, on tombe sur le camion de Cennet, qui avant de gravir la pente, nous fait trinquer à la vodka (3 petites bouteilles en quelques minutes...) à 11h du mat. On repart bien joyeux.

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Repartis avec courage, on tombe sur deux petites fées cachées dans les arbres, Sabina et Elvira.

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Elles nous conduiront auprès de leurs grands frères, Imran et Islam.

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On est tombés au milieu d'une réunion de famille de Dounganes de Bishkek! Une belle farandole et on ne redécollera plus de là. Tant pis pour les papillons, on préférera les plats de moutons savoureux et les rires avec nos nouveaux amis.

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Le patriarche, monsieur Ismar.

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Son beau-fils, Abdullah et sa superbe barbe.

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Son fils, Asman.

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La femme d'Asman, la sympathique Sonia.

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Le second patriarche, monsieur Ibrahim.

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Fatima et son petit Mohamed, le fils d'Abdullah.

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Zura, épouse de Ibrahim.

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Et la photo de groupe de toute la famille, au complet.

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On change de région, on a roulé une bonne journée depuis Bishkek vers le sud et on découvre Arslanbob, village d'Ouzbeks un peu perdus dans les montagnes kyrgyzes.

Notre tour pour aller voir les célèbres noyers commence par cette sortie d'école mouvementée.

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On croise ensuite Cuvol et ses trois ânes.

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Puis sous les arbres, c'est Fatima qui osera venir converser avec nous et poser pour un beau sourire avec son équipe de glaneuses de noix cachées sous les feuilles.

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On croisera aussi Bruhat et ses copains occupés avec de petites pommes bien acides.

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Quittant Arslanbob, en taxi partagé, on se fera déposer au bord d'une route au milieu de nulle part, car un Ulagh est en pleine action. On aura donc la chance de voir ce spectacle puissant d'une cinquantaine de cavaliers aux prises avec une chèvre sans tête, pour la gloire et quelques billets! Les enfants sont aussi étonnés de nous voir que nous le sommes de pouvoir assister à ce sport.

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Les enfants apprennent tôt à tourner autour des "grands", papa, grand-frère ou oncle qu'on imitera très bientôt.

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Les concurrents les plus convaincants ont des airs de boxers, certains portent des casques et ressortent en sang de la joute.

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Et on gagne aussi, comme au loto!

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A Osh, ville aux millénaires d'histoire, on se sentira bien au coeur de l'Asie. Chez Zeyra, jeune turque vendeuse de bijoux.

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Avec des étudiantes en anglais de la fac locale, des Kyrgyzes, au pied de la montagne de Salomon.

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Au marché, en partie calciné, une vendeuse ouzbèke.

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Sur un chantier près du musée de la ville, Bahar l'Ouzbèke, et ses collègues Sonia et Gullia, Kyrgyzes.

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Et le reste de l'équipe, plus timides, à la fenêtre.

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Mira et sa famille.

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Et notre hôte CS, l'humaniste Pradyuman... on ira découvrir sa ville natale quelques mois plus tard, en Inde, Dehradun. On vient de découvrir sa glace préférée.

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Et il nous permettra avec gentillesse de faire un grand repas avec Dinara, à droite, CS amie de Simon, rencontrée à Bishkek. Elle viendra en force avec ses collègues, de droite vers la gauche, Akmaral, Ayzuna, Gulnara et Oksana.

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Tadjikistan:

Plus de trois semaines à vivre toute la magie de la région, ou les terribles conséquences de l'histoire... après une nuit de jeep, on arrive dans le Pamir est, au Tadjikistan, mais la population est toujours majoritairement kyrgyze, comme ces deux gamins de Murgab.

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C'est en compagnie de Turcogul qu'on rejoint Alichour, petit village balayé par le vent glacé.

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A la recherche d'un lieu où passer la nuit, on nous dirige vers l'école où trouver les profs parlant un peu d'anglais. Cindy entourée par les enfants.

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Dans l'une des deux rues du village, avec Mohul, Aydana, Cennet et Alina.

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Plus loin, les sérieux Mohamed, Yusuf, Minash et Kustarbek concentrés sur leur jeu d'osselets.

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On visite l'école, guidés par les internes.

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Et on restera deux nuits chez Rahima, enseignante d'anglais, avec sa très éveillée Chukruna, en plein travail d'écriture avec sa copine Alina.

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Pour conjurer le froid glacial qui souffle au dehors, un peu de musique et quelques pas de danse.

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Juste avant notre départ, Rahima avec ses deux filles, Chukruna et la souriante Shanozah. Une jolie famille Choungane.

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On reprend la route avec le seul transport possible ce dimanche là, le camion chinois de Akbar.

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Et on sera bien contents d'arriver enfin à Khorog, capitale du Pamir. Après une nuit pluvieuse, on rencontre Suleya.

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Puis la vallée de Wakhan, à la frontière afghane nous fascinera plusieurs journées de suite. Avec Anara qui nous fit découvrir le chir chai, breuvage de thé noir bien salé, beurre et bout de pain.

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Dans le village de Langar, Zahir, Khursaw et Umiyet sont nos guides pour aller découvrir les pétroglyphes anciens.

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A Zong, les cousins Hesan et Tufa nous feront découvrir le caravansérail que Marco Polo utilisa en son temps.

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   On partagera le repas avec les parents de Tufa, avant de poursuivre notre route à pied.

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A Vrang, un peu plus à l'est, c'est Faysigül qui lave conscienceusement le 4x4 familial.

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A Yamg, Faizmamat, Muslima, Dodikhudo et Nilufer nous guident vers la maison du saint local. 

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Et à Yamchun, dernière étape, on est sauvés de la mort par Nizbek et Rustam! Plus rien à manger, pas de gargotes, on accepte avec joie l'invitation de Nizbek dans sa belle maison, pour un chai, ses sucreries, son pain et sa confiture... nous sommes sauvés!

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Après deux jours de camion et jeep, on quitte le Pamir, pour arriver à Dushanbe, la capitale, où on tombe à nouveau sur notre ami David! Pour fêter cela, une petite supra dans le restau géorgien de la capitale.

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On est chez des Cs, Paradise et Ahmad, un couple merveilleux, généreux et promis à un bel avenir.

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      Vous pouvez voir ici leurs vidéos, puisqu'ils sont artistes.

D'origines turkmènes, iraniennes et afghanes, un résumé de la région à eux seuls! Cette belle chanson sur l'Afghanistan traduit bien la douceur et l'amour présents dans ces deux personnes à la volonté si forte.

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Vous pouvez écouter aussi d'autres chansons plus rythmées, comme Dokhtare link , ou encore Range Esgh, au clip soigné link. Sinon en reggaeton vous avez Faaze High link, ou enfin Royaye Sapidam link.

Mais ils ne font pas que chanter, ils tiennent aussi une école privée d'anglais pour vivre, et logent le soir dans les locaux les CS de passage. On passera cinq merveilleux jours en leur compagnie, dont ce repas, accompagnés par Janush et Karly, venus d'Estonie, et de Jum Ming de Singapour.

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De l'autre côté des montagnes, on découvre Penjikent, en nous logeant dans la GH tenue par l'actif Niyozkul et son accueillante famille.

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On partira de là découvrir les 7 lacs, où on croise des gens très couleur locale.

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A Marguzor, les habitants sont perchés sur les flancs de la montagne.

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Mais les vieux du village ne manquent pas de nous inviter pour un chai ou pour la nuit.

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On terminera notre découverte du pays chez Victoria, à Pendjikent. Américaine au sang latino qui enseigne avec courage l'anglais dans cette ville un peu isolée.

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Une sortie pour une journée à Istaravchan, ville d'Alexandre le Grand, où on rencontre Farouk, Karimcan et Nerut, au pied de la forteresse locale.

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Petit tour dans une belle mosquée dans le jardin de la maison de Karim.

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Ses enfants, Matluba, Mahuluda et Mustafa sont là aussi.

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Ouzbekistan:

Un mois à aller dans toutes les régions de ce long pays un peu compliqué... on y rencontrera moins de gens, et les marchés seront moins remuants. Mais la nourriture souvent assez sympa!

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A Tashkent, on se loge dans la famille de Farhod, très actif CS local. En compagnie de Peter et Carina pour les premiers soirs, un couple allemand à vélo.

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Voici Sardar, mangeant les pâtes qu'on lui cuisina un soir.

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Et son grand-frère Asamat, petit génie brillant et déjà si responsable.

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Farhod et Rano avec leurs deux enfants dans le salon où on passa quelques nuits.

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A Samarcande, après nous être un peu accrochés à l'entrée de la mosquée des voyageurs, on deviendra amis avec Malhuja, ancienne prof de français.

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Devant la mosquée Bibi Khanum, un groupe de pélerine qui lutte avec nous contre le froid.

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Dans le marché, le friteur de poisson au kilo.

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On déjeune en compagnie de Gulaya, prof d'anglais et son mari Laziz.

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Les gamins profitant de la neige fraîche, dans la cour du fabuleux Gur-e-Emir.

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A Khiva, le soleil enfin, pour nous permettre de discuter avec Drafuz et Nafissa, profs de français.

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Delfunza et Makhutash, rencontrées un soir lors d'un anniversaire dans le restaurant de la GH où nous nous sommes logés. 

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Rashid, notre logeur, et sa femme Zaynag, descendante d'un célèbre vizir de l'Emir de Khiva.

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A Urguentch, à deux pas de la gare, un samosa brûlant dans le petit matin gelé. 

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Nizam, qui nous sauva la mise en nous prenant en stop, lorsque nous revenions de la belle tour du silence, à Chilpiq, un peu au sud de Nukkus.

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Dans le train de retour vers Tashkent, on savourera un bout de viande séchée offert par Kainulah et son ami Gandjabey.

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D'où on repartira directement vers la vallée de Ferghana. Vendeuses de pain, à un arrêt en route.

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Mercen, la sympathique serveuse du café de Ferghana où on déjeune de bons ceyrek, à deux pas du bazar.

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A un autre moment, dans le même bazar, un plov et un chai partagé avec des papets du coin.

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Le bazar du dimanche d'Andijan qu'on nous avait tant célébré, nous laissa un peu sur notre faim.

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Mais en ville, on croisa un Babur très à l'aise en anglais.

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Et on visita la ville en compagnie de Farohiddin, sympathique CS qui venait de se lancer. 

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Turkmenistan :

5 jours à traverser ce désert, après 23 jours à attendre une autorisation à Tashkent, et quelques heures d'attente à patienter devant l'ambassade.

De la frontière, on partage un transport avec Asher Murat, et son épouse Nuracan, dont on regrettera d'avoir refusé son invitation pour dormir, lorsque quelques heures plus tard, on tournera en déreliction en ville à la recherche d'un hôtel au prix acceptable.

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Pendant la visite des ruines de Merv, un cousin de Jojo de Turkestan au Kazakhstan ( Turkestan: premier mausolée de la route de la soie ).

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Et leur berger, Sait Mohamad.

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On termine la visite du site par le Kizil kala, en compagnie de Angerelim, Altyn, Sahar et leur chauffeur.

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De retour à Mary, statue tout en simplicité de l'ancien président Nyazov...

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A Ashgabat, dans la capitale, les écolières sont des fleurs en éclosion avec leur noeuds dans les tresses.

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Tresses qui sont obligatoires pour être une bonne Turkmène...

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comme le raconte l'ancien président dans la "Bible" qu'il a laissée pour guider son peuple, le fameux Ruhnama.

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Cindy devant l'opéra national, en compagnie de Gülcan.

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Et notre ami CS turc Celik, qui nous invita à une soirée sympa dans un bar local.

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On termine ce tour de l'Asie centrale, par un dernier merci à Sehre, et sa coiffe fantasque, rencontrée au coeur même du mausolée de l'ancien président Nyazov, à Qipchak, sa ville natale.

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En quittant le Turkménistan, on quittait une partie essentielle de notre voyage... pour nous lancer à l'assaut de l'Iran, puis de l'Inde, où l'on passa les 3 mois suivants.

Merci numéro 3 est en préparation... à très bientôt.

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