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Yolistan - un voyage sur les routes de la Soie.

Voyage de Cindy et Thomas à travers l'Asie, d'Istanbul à Saint Pétersbourg en passant par Beijing!

St. Pétersbourg:la fin de notre année sur la route... avant la prochaine

On sort du train, il est tôt le matin, on foule les pavés gris, d'un pas douteux car on va clore un an sur les routes, mais bon, une fin n'est qu'une étape avant le prochain saut...

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On est venus à Saint Pétersbourg pour un musée, souvent considéré comme un des plus beaux du monde. On ne va pas être complètement dans la déception, mais l'immensité des collections vaut quand même le détour.

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Les salles grecques et romaines dans un décor de spectacle pour débuter.

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On continue par des salles où valsaient les princesses... et où marchent au pas forcé les hordes de touristes maintenant.

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La partie du musée qui était anciennement les appartements privés du Tsar sont tout aussi richement décorés, mais presque trop?

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La foule vient pour les tableaux italiens surtout, 

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et on ne peut pas cacher que ça nous gonflait de voir une foule compact et immobile, pour photographier derrière une vitre brillante deux petits Léonard De Vinci... tout ça pour ça!

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Le petit moment de bonheur pour Thomas sera le passage par la salle Gandhara, encore et toujours. Cette pierre tendre et calme venue des terres pakistanaises procure toujours la même fascination.

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Cet homme pensif à la petite moustache ferait presque penser à un gaulois égaré en orient.

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On recroise les fresques merveilleuses qui avaient été trouvées sous la terre lourde des collines de Pendjikent, au Tadjikistan, que nous avions tant aimé au mois d'octobre dernier. 

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Arrivés à 10h20, on entre dans le musée vers 11h30... il est déjà 15h, et les queues continuent à l'entrée du lieu.

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Le soleil resplendissant baigne l'église Saint-Sauveur, inspirée de Saint Basile à Moscou, et le charme de la ville commence à nous prendre.

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La ville, toute de canneaux, a été inspirée par Amsterdam. 

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Et les clichés avec voiture vieillote sont facile à trouver.

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On trouve aussi en plein centre ville la cathédrale de Kazan.

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Ou de beaux batiments sur la célèbre Perspective Nevsky, ici la librairie et le café Singer. On touche ici à un lieu de mémoire littéraire et historique.

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Et après avoir acheté les nouvelles de Nicolas Gogol, Thomas pose dans cette rue magique.

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Les canneaux brillent et un petit air de méditerrannée nous saisit.

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L' église Saint Isaac est quelque peu figée, mais ses domes dorés et sa façade classique lui donnent un air majestueux.

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Depuis les colonnades, on domine le quartier et le regard n'est arrêté que par la succession des clochers des églises. Ici la pique de l'amirauté et le palais d'hiver, sur la droite, aujourd'hui le musée de l'Hermitage.

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Les églises majeures russes sont souvent pourvues de portes monumentales où les battants sont des chefs d'oeuvres.

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On termine cette journée en compagnie de notre hôtesse, Leisan, très sympathique ingénieur. Une fois de plus ces longues discussions jusqu'à tard dans la nuit nous permettent d'entrer un peu plus dans la réalité locale. Leisan est tatar, et peut porter un regard externe sur la ville et les us et coutumes des Russes slaves.

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Deuxième jour, toujours aussi chanceux, un beau soleil nous attend pour notre tour du jour. On va aller explorer les quartiers situés de l'autre côté de la Neva.

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On passe par l'île Vassilievski, dont le plan rectiligne a été dessiné par le Tsar Pierre le Grand.

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Puis un pont plus loin, on arrive à la très célèbre forteresse Pierre et Paul, lieu historique où ont été emprisonnés des générations et des générations de révolutionnaires et activistes russes à l'époque des Tsars. On visite d'abord l'église Pierre-et-Paul, où sont enterrés tous les tsars depuis Pierre le Grand, au début du XVII ème (les premiers Tsars se trouvent eux au Kremlin, dans la cathédrale de l'Archange Gabriel que nous avions visitée à Moscou).

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On peut voir la salle où sont inhumés les restes de la famille Romanoff, Tsar Nicolas II en tête, depuis 1998.

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On visite aussi la prison Troubeski, geôle célèbre qui accueillit des générations de révolutionnaires russes, dont deux qui nous sont plus proches, le prince Kropotkine et Michel Bakounine.

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Les cellules pour un seul détenu à chaque fois, ne sont pas si petites que ça. Mais la mise en scène sobre du musée donne une certaine impression de ce qu'ont pu être les époques de forte occupation contre tous les réformistes ou révolutionnaires locaux.

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On sort au grand air, au bord de la Neva, à deux pas d'un bon voilier qui nous fait penser au grand-père Guy.

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Et pour notre plus grande joie, on passe voir la mosquée utilisée par les Tatars locaux... et tous les immigrés musulmans, nationaux ou centrasiatiques.

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Petite pause sur un banc, pour profiter du bon courant d'air et de ces instants qui se feront rares dans les prochains mois sans doute.

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On retrouve les iwans caractéristiques de l'Asie centrale, on se croirait presque en Ouzbékistan.

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Après avoir parlementé un bon moment avec un Russe anxieux et pointilleux, on finit par le convaincre de nous laisser passer, juste pour "pasmotrit", alors qu'il aurait préféré nous voir faire le "namas".

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Et une rue plus loin, on change de monde, car nous tombons par hasard par un musée que nous voulions visiter: le musée de l'histoire politique de la Russie. On passe par plusieurs salles très documentées, dont malheureusement tout n'est pas traduit. Mais les photos et les documents sont souvent suffisamment explicites.

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On s'était lancés dans cette traversée de la Russie sans avoir révisé notre histoire soviétique... on se retrouve donc assez étonnés dans les batiments où mijota le début de la révolution d'octobre. Où Lénine, Trotski et consorts lancèrent les harangues qui poussèrent les ouvriers à finir de renverser le pouvoir défunt du Tsar.

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Et ce musée installé dans les deux maisons bourgeoises où fonctionnèrent les bolchéviques à leur débuts, se trouvent justement à deux pas de la gare de Finlande, où Lénine mit fin à son exil et prononça un discours important lors de son retour, image canonique qu'on retrouve sur toutes les places du pays. Voici la place et la gare originales.

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On continue notre route dans le tréfond du métro. Toujours cette même plongée en enfer...

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On ressort gare Vitebski, qui brille par la lourdeur des décorations...

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Et juste en face, pour vous entraîner à lire en russe, on vous laisse deviner quelle lettre cyrillique correspond à quelle lettre de notre alphabet.

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Restés à la maison le premer soir pour cause de pluie, on passe une soirée à déguster des pâtes aux crevettes avec Leisan... et notre intérêt pour les mêmes choses nous fait allègrement durer jusqu'à plus de minuit. On s'aperçoit que dehors, la lumière ne part toujours pas. La fatigue, on l'oublie vite et on sort comme deux gamins à 1h du mat pour foncer vers la Neva. On espère bien ne pas se retrouver coincés de l'autre côté des ponts, qui se lèvent pour quelques heures...

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On traverse la Neva et on admire les sphinx offerts à Catherine II... il est 1h15 et il fait bien clair.

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Et lorsqu'on regarde vers le nord, depuis notre pont, on a l'impression que le soleil est sur le point de se lever, mais on est bien au milieu de la nuit!

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Le pont qui bouge ne fait pas pour autant partir les araignées... un symbole pour cette ville, qui commence pourtant à nous emballer.

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Et voici le briseur de couples... car il sépare ceux qui vivent de part et d'autre de la Néva pour la nuit.

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Dernier jour à St Pétersbourg, les canaux sont notre terrain de jeu.

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On reprend une dose d'églises, on pourrait la croire marseillaise avec son beau bleu ciel.

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L'intérieur est récent et pas folichon.

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On retrouve notre chère Leisan en fin d'aprème, pour lui rendre ses clefs, car comme c'est souvent le cas avec le CS, à peine arrivés, on se retrouve comme à la maison avec les clefs en poche.

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On lui fait la bise, et on enchaîne avec Kostia, autre CS qui aurait bien voulu nous loger lui aussi. On se contentera de passer notre dernière soirée ensemble, en famille avec son épouse Victoria et leur volubile et francophone fille Veronika. Première arrêt, dans un délicieux café de la ville, célèbre pour ses tartes salées ou sucrées.

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Kostia, un enfant de la ville, nous propose un beau tour dans les rues, avec explications: cette façade sans intérêt est pourtant le lieu où Dostoïevski décida de placer le lieu du crime de Raskolnikov dans son chef d'oeuvre, Crimes et Chatiments.

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Un peu plus tard, il est 23h, le ciel est encore bien bleu, et nous voici devant le premier brise glace de la ville.

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Le Palais d'hiver où est installé l'Hermitage - Saint Pétersbourg - 1h15 du mat un 28 juin 

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Et la vue depuis le pont, en direction de la forteresse Pierre-et-Paul, magique...

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Et le pont levé à angle droit.

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Et un panorama Amirauté-île Vasiliévitch et Pont relevé.

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On passera plus d'une heure, bouches béantes, subjugués par la beauté de cette aurore nocturne, à savourer notre voyage qui se clôt pour quelques mois. Un moment si intense symbolise bien notre pérégrination, qu'on avait voulu vivre sous le signe de l'instant et des instantanés humains et émotionnels. Dans les personnes rencontrées, les monuments visités, les saveurs dégustées, les kms de cartes géographiques traversés en train, bus, van, jeep ou camion...les livres dévorés et les petites bribes de connaissance et de savoir qu'on aura réussi à glaner ça et là.

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Et on vous dit presque au revoir, car un dernier article de remerciements est en préparation pour vous faire revivre notre année sur la route. Profitez bien de ce moment paisible. Et faîtes vite vos valises pour partir découvrir la Russie!

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      Kostia à 3h nous a raccompagnés à l'aéroport,

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et quelques heures plus tard, on sort de l'aéroport de Marseille, sniff!

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C
Je me nomme corine âgée de 32 ans j'habite dans le 59139 wattignies . J'étais en relation avec mon homme il y a de cela 4 ans et tout allait bien entre nous deux puis à cause d'une autre femme il s'est séparé de moi depuis plus de 5 mois . J'avais pris par tout les moyens pour essayer de le récupéré mais hélas ! je n'ai fais que gaspiller mes sous.Mais par la grâce de dieu l'une de mes amies avait eut ce genre de problème et dont elle a eut satisfaction par le biais d'un ... nommé ishaou au premier abord lorsqu'elle m'avait parlé de ce puissant je croyais que c’était encore rien que des gaspillages et pour cela j'avais des doutes et ne savais m'engager ou pas. Mais au fur des jours vu ma situation elle insiste a ce que j'aille faire au moins la connaissance de ce puissant en question et c'est comme cela que je suis heureuse aujourd'hui en vous parlant.c'est à dire mon homme en question était revenu en une durée de 7jours tout en s'excusant et jusqu'à aujourd'hui et me suggéré a ce qu'on se marie le plus tot possible.je ne me plein même pas et nous nous aimons plus d'avantage. La bonne nouvelle est que actuellement je suis même enceinte de 2 mois. Sincèrement je n'arrive pas a y Croire a mes yeux qu'il existe encore des personnes aussi terrible , sérieux et honnête dans ce monde, et il me la ramené, c'est un miracle. Je ne sais pas de quelle magie il est doté mais tout s'est fait en moins d'une semaines.(pour tous vos petit problème de rupture amoureuses ou de divorce ,maladie ,la chance , les problèmes liés a votre personnes d'une manière, les maux de ventre, problème d'enfants, problème de blocage, attirance clientèle, problème du travail ou d'une autres) Vous pouvez le contacter sur: son adresse émail : maitreishaou@hotmail.com ou appelé le directement sur whatsapp numéro téléphone 00229 97 03 76 69 son site internet: www.grand-maitre-ishaou-13.webself.net
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R
Jolies les photos.
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